Les bras de mer

Yann Tiersen

Transposer:

  De l'endroit    où je suis   On voit des bras de mer   Qui s'allongent    puis renoncent   A mordre dans la terre   Dans le lit    tard nous sommes là   Nous recommençons tout   J'ai du mal      à y croire   Je vois des bras de mer   Je vois des bras de mer   Qui s'allongent      Qui s'allongent   Je vois des bras de mer   Qui s'allongent      Qui s'allongent   Et qui mordent la terre  Et la séparent enfin        Et la séparent enfin

Du même artiste :

empty heart empty heart Gm, Eb, Fm, Bb, D
empty heart empty heart Dm, Gm, A, F, C
empty heart empty heart E, E6, E7, A, F#, F, D
empty heart empty heart F#m, E, D, A, F, C, Eb, Bb, Dm, Gm, Db7
empty heart empty heart Em, B7, Am, B, G, D, Em7, Em6
empty heart empty heart G#m, B, E, Dbm, Eb, F#
empty heart empty heart Bm, D, A, G
empty heart empty heart C, G, F, Am
empty heart empty heart A, E, A/D, A/F#
La chanson évoque l'image des bras de mer qui s'étendent et retournent à l'eau, une métaphore des cycles de la nature et du changement constant. Elle parle aussi d’un moment partagé, presque intime, où deux personnes se retrouvent dans un lit, comme si le temps était en suspend. Cela traduit une sorte de lutte entre la permanence et l’éphémère : les bras de mer interpellent par leur mouvement inconstant, tandis que la connexion humaine semble offrir une forme de réconfort face à cette impermanence. Le contexte pourrait être celui d’une réflexion sur les relations et la manière dont, malgré les tumultes de la vie, des instants de paix et d'amour peuvent émerger, donnant un sens à ce qui nous entoure. C'est une manière poétique de parler de la nature, mais aussi des liens qui nous unissent et des moments qui comptent.