Gisèle

Xavier Caféine

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Intro : Gisèle, tu m'as crevé le coeur (2x) Je suis parti dans la semaine et ne suis jamais revenu J'avais embagagé mon coeur, mais sans toi, il est mort dans la rue C'est comme en tout les carrousels, y'a un sauvage chez les chevaux qui pourrait s'enfuir au galop C'est quand on vit dans une poubelle, que l'on se sent comme une étoile, et que l'on invente les remèdes pour anesthésier tout son crâne. Et je suis Ouh ! Ouh ! Ouh ! Gelé dans la nuit. Et je suis Ouh ! Ouh ! Ouh ! À ta merci. Gisèle, tu m'as crevé le coeur (2x) Haaa ! Haaa !        J'ai pris la route de la rocaille, amusé par le pittoresque. Napoléon sans son cheval, voyageant seul dans une brouette. C'est comme dans tous les carrousels, y'a un sauvage chez les chevaux, qui pourrait s'enfuir au galop. C'est quand on vit dans une poubelle, que l'on se sent comme une étoile, et que l'on invente les remèdes pour anesthésier tout son crâne. Et je suis Ouh ! Ouh ! Ouh ! Gelé dans la nuit. Et je suis Ouh ! Ouh ! Ouh ! À ta merci. Gisèle, tu m'as crevé le coeur. (2x) Haaa ! Haaa !        Haaa ! Haaa !        Gisèle, tu m'as crevé le coeur. (2x) Ha Gisèle, tu m'as crevé le coeur. Gisèle, tu m'as crevé le coeur. Ha Gisèle, Gisèle, Gisèle, tu m'as crevé le coeur, le coeur, le coeur. (2x) Gisèle.. Haaaa..Haaaa...

Du même artiste :

empty heart empty heart D, Bm, F#, A, E
La chanson évoque la douleur d'une séparation amoureuse, où l’artiste se rend compte que son cœur a été brisé par l'absence de l'autre. Il décrit une errance mêlée de nostalgie, illustrant un mélange de désespoir et de résilience face à cette perte. Entre métaphores de carrousels et d'animaux sauvages, il explore des sentiments profonds de solitude et d'incompréhension, mais aussi une certaine sagesse qui émerge dans l'adversité. Dans cette introspection, il prend la route, évoquant des figures historiques et des images puissantes qui renforcent son sentiment d'isolement. Le contraste entre la misère et le sentiment d’être une étoile montre comment il essaie de trouver de la lumière dans l’obscurité. C’est une véritable quête d’identité après une déchirure, où chaque mot résonne avec une mélancolie poignante.