Comme je m'ennuie de toi

William Sheller

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(D'après la version de 1975) (2x) Ce n'est pas que le temps soit plus  mauvais qu'hier Mais je préfère rester chez moi à me parler de toi, oh, oh, oh, oh Oh.    Comme je m'ennuie de toi, oh, oh, oh, oh Oh.    Comme je m'ennuie de  toi, oh, oh, oh, oh, oh Ce n'est pas que mes amis m'abandonnent, mais Je les fatigue au téléphone à leur parler de toi, oh, oh, oh, oh Oh.  Comme je m'ennuie de toi, oh, oh, oh, oh Oh.  Comme je m'ennuie de  toi, oh, oh, oh, oh, oh Tu m'as dis : «  Sors un peu et va au cinéma      Pendant que je ne suis pas là ! ». Mais je n'y verrais que toi, oh, oh, oh, oh Oh.  Comme je m'ennuie de toi, oh, oh, oh, oh, Oh.  Comme je m'ennuie de  toi, oh, oh, oh, oh, Oh.          (Choeurs : Ouh.. Ouh)  Comme je m'ennuie de toi, oh, oh, oh, oh, Oh.    Comme je m'ennuie de  toi, oh, oh, oh, oh, Oh.          (Choeurs : Ouh.. Ouh)  Comme je m'ennuie de toi, oh, oh, oh, oh, (Ad libitum)

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Cette chanson évoque un profond sentiment de mélancolie et de solitude face à l'absence d'un être cher. L'interprète se retrouve plongé dans ses pensées, préférant la contemplation du souvenir de cette personne plutôt que de sortir et de passer du temps avec ses amis. Même si ceux-ci ne l'ont pas abandonné, il leur parle sans cesse de celle qui lui manque, témoignage d'un attachement indéfectible. Le protagoniste se heurte à la difficulté de se distraire, car chaque activité lui rappelle cette présence lointaine. Une simple proposition de sortie au cinéma devient une occasion de revivre cette nostalgie, car il sait qu'il ne pourra pas échapper à ses émotions. C'est un véritable cri du cœur, exprimant à quel point l'absence peut peser lourd sur le quotidien.