L'olivier

Wallen

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Qui replantera l'olivier Où sont passé les gens que j'ai aimés Qui foulera le chemin de la maison ?    Qui m'aimera au rythme des saisons ?     Un jour, une femme en pleurant m'a parlé d'un olivier Ni là, ni là bas, si je sais d'où je viens Je n'sais où je vais Elle me dit qu'elle revoit son père pour Shabbat Il n'y a pas plus bon pain Que celui qu'il rompt de sa main Shalom Alekheim Un jour mon père parlait à ma mère d'un bel olivier Ni là, ni là-bas, si je sais d'où tu viens je ne sais où je vais Il me dit que sa mère L'habillait de blanc le vendredi L'appel à la prière Résonnait dans toute la ville Salam Aleîkum Je fonderai ma famille, Bâtirai ma vie, sur ce qu'elle m'aura appris J'ai ma maison, au rythme des saisons, Papa j'écris des chansons Tous mes souvenirs m'aident à devenir Tout ce que tu n'as pas eu le temps d'être Et toi et « Mama » resterez pour moi mon bel olivier

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La chanson évoque la nostalgie et le lien avec les êtres chers disparus à travers l'image d'un olivier, symbole de paix et de famille. L'artiste parle d'une femme qui évoque son passé, la présence de son père et les traditions familiales, comme le Shabbat. Elle se remémore les moments partagés et l'importance de ces souvenirs qui façonnent son identité. Le refrain rappelle la quête de l’amour et des racines, soulignant le désir de perpétuer l'héritage familial malgré l'incertitude de l'avenir. La présence de l'olivier devient alors un symbole central, représentant à la fois la mémoire, l'amour et la continuité.