Le journal

Vincent Vallières

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Une femme s'inquiète tard le soir Sa fille se prostitue quelque part Un homme gagne à la loterie Millionnaire heureux du samedi Mon journal vient de rentrer Un big shot s'est fait tirer Un psychologue exorcise Un p'tit gars roux qui frise (x2) Des amours brisées Des coeurs à repriser Un film américain Au belle image Qui raconte rien [Refrain :] Le jour la nuit, La nuit le jour Tout tourne en rond, Depuis toujours     Comme un métis, C'est mélangé Comme un fusible, C'est sauté     La vie va vite, On vit avec On boit du café, Espressoooooo Mon journal vient de rentrer (x2) Un cours d'histoire du Canada Un documentaire sur Sinatra On a tué au Liban Un autobus manque le tournant Des élections provinciales Un discours dans une grande salle Un bateau vient de couler Le cours de la bourse va chuter Des messages sur internet Mon voisin trouve qui fait fret Un bar rempli de travestis Des reprises de Dynasty [Refrain] L'ambiance est tendue au parlement Qui a couché avec le président ? Un moine se meurt en silence Il avait l'oeil plus grand que la panse Une ménagère est fatiguée Le cheap labor est développé L'information fidèle à rien Comme une surprise à chaque matin [Refrain] Mon corps suit plus mes pensées Je pourrai jamais m'arrêter Une nuit, un jour... et depuis Le temps court après l'amour

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empty heart empty heart G#m, B, E, C#m, F#, D#m
empty heart empty heart G, F#, E, B, A, C, D, Em, A/C#, D/F#
empty heart empty heart Em, A, C, Bm
empty heart empty heart Dm, Am, Em, F, C, D
empty heart empty heart D, A, Bm, G, A6, A7, D2
empty heart empty heart Am, C, D5, G, Bb5
empty heart empty heart A, E, B
La chanson parle de la vie quotidienne, en se concentrant sur les préoccupations et les drames des gens. Une mère s'inquiète pour sa fille, tandis qu’un homme se réjouit de sa chance au loto. Les nouvelles rapportent des événements tragiques et des histoires variées, révélant une société pleine de contrastes : des réussites, des désillusions, mais aussi des instants de banalité comme la consommation quotidienne d’un café. Le tout dépeint une sorte de cycle sans fin, où les jours se ressemblent et où les enjeux sociaux sont omniprésents, allant des tragédies internationales aux préoccupations de chacun chez soi. On ressent un profond mélange d’émotions et de réflexions sur la nature de la vie, dans un monde qui semble chaotique et souvent indifférent aux luttes individuelles.