La fée

Victor Gruson

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(x2) C'était le jour ou je l'ai croisée, Dans les couloirs de mon lycée. En la voyant tout c'est expliqué, Mon coeur venait juste de lâcher. L'amour n'est jamais ce que l'on pense, il n'est souvent jamais parfait, Ce qu'on vivait était intense, presque comme un conte de fée... Elle avait les yeux bleues, cheveux couleurs du sable, C'était ce genre de femme vraiment incroyable, Souriante et charmante, elle riait de bon coeur C'est dur je me lamente,  c'était mon âme soeur. Mais moi je voulais seulement trouver, ma petite magicienne Je lui ai donc expliquée, en toute sincérité. (x2) Quelques semaines sont passées, Sans jamais l'avoir recroisée. Ne croyez pas que je m'y soit fait, Je n'arrête pas d'y penser... Mais c'est en retrouvant ses photos, que j'ai pu enfin l'observer; Elle avait des ailes cachées dans le dos, tout est ma faute en effet. (x2)

Cette chanson évoque la découverte d'un amour fugace, celui d'une jeune fille rencontrée dans les couloirs d'un lycée. Le narrateur se remémore leur première rencontre, un moment qui a fait chavirer son cœur. Bien que l'amour soit souvent idéalisé, il se rend compte que ce qu'il a vécu était d'une intensité presque magique, comme un conte de fées. Il décrit la beauté de cette femme, avec ses yeux bleus et ses cheveux dorés, et son charme irrésistible qui le touche profondément. Au fil du temps, le narrateur réalise qu'il a du mal à l'oublier, même s'il ne l'a pas revue depuis plusieurs semaines. La nostalgie l'habite et le pousse à rechercher des souvenirs, notamment à travers des photos. C'est alors qu'il découvre une facette inattendue chez elle, symbolisée par des ailes cachées, symboles de quelque chose de plus grand et de plus mystérieux qui faisait d'elle son âme sœur.