Les arpents verts

Vic Mizzy

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Les arpents verts, les champs, les bois Les chemins creux, c'est fait pour moi. J'aime les coins coins des p'tits canetons Et les bèbèbè des bébébés des moutons. Moi, j'aime New York et son entrain. L'herbe, ça me donne le rhume des foins. J'aime l'animation des carrefours. Je t'adore mon amour Mais rends moi mes faubourgs.               Plein Air !               Emplette !               Bon air !               Nuit d'fête ! Viens donc chérie. Adieu ma belle vie ! Arpents verts nous voiciiiiiiiiiii !    

Cette chanson évoque un véritable penchant pour la nature et les paysages paisibles, tout en contrastant ce côté bucolique avec l'animation et l'effervescence de New York. L'artiste se plaît à décrire la beauté des champs, des bois et des animaux, tout en exprimant une nostalgie pour ses racines et un attachement à des lieux familiers. Malgré l'attrait de la ville, il ressent un fort désir de revenir aux espaces ouverts et aux plaisirs simples de la vie rurale. Le contexte de cette chanson peut rappeler un sentiment universel de déchirement entre la vie urbaine dynamique et le besoin de retourner à des origines plus sereines. C'est une célébration des plaisirs simples que la nature offre, tout en s'ancrant dans un cadre moderne.