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Veau Vandaloo

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Y'était quand même pas pour revirer de bord Y'avait pas le souffle pour remonter le temps Y bougeait pas trop, le corps pesant Le cerveau dans un grand coup de vent Y'en a qui payent pour des gaffes de jeunesse Y'ont le don de se revirer sur un 10 cennes   Y'en a pour qui 30 sous c'est le bonheur D'autres qui sur leurs trésors sont ben en peine (x2) Fouiller les restes d'éternité C'pas plus cher que se fouiller dans le nez Se péter 'a face dans le mur du son S'éfouarer le piton jusqu'au fond Y'en a qui osent pas faire confiance au voisin Y'ont perdu l'art d'une bonne poignée de main Y'en a qui braillent que c'est l'argent qui les mène Moi je tiens à mon 99 cennes (x2) (x4) Ma mère m'a dit : "Y'a pas que l'argent dans vie Y'a les cartes de crédit et les chèques personnels" (x4) w/ 99 sous, 20 19 sous, 20 19 sous (x4) (x4) pesant w/ Bon mais y'a-tu quelqu'un qui va me dire ce que je fais icitte ? J'ai pelleté des nuages, j'ai pas dormi de la nuite J'ai cherché des messages jusqu'au fond des bouteilles J'avais plus rien à dire quand j'ai aperçu le soleil (fin : reste au lieu de )

La chanson évoque la lutte intérieure et les réflexions sur la valeur de l'argent et des choix de vie. Elle parle des conséquences des erreurs de jeunesse, du poids du regret, et des priorités de chacun face à l'existence. Certains trouvent le bonheur dans des choses simples, tandis que d'autres se laissent submerger par des préoccupations matérielles. L’intervenant rappelle un conseil de sa mère : il y a plus dans la vie que l'argent, une vérité qui semble souvent ignorée. Le contexte semble refléter une société où la valeur monétaire prend le pas sur des liens authentiques, comme une poignée de main sincère ou la confiance en autrui. La chanson joue sur le contraste entre les petites joies de la vie et les tracas financiers, tout en amenant une réflexion profonde sur la quête de sens.