Instinct De Mort

Trust

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Instinct de Mort Trust Standard tuning EADGBE Intro : (clear electric) (disto) VERSE 1 : Je vais te parler de l’ennemi public numéro 1 Celui qu’on t’a dépeint comme une bête féroce. Je n’veux pas le juger je ne veux pas l’glorifier Mais ta grande gueule témoin t’as eu tort d’la fermer Car Porte de Clignancourt vendredi 2 novembre Sois fier de ta police elle a  exécuté. CHORUs: L’état choisit ses cibles éclaircit ses rangs. L’ordre peut régner de la mort du silence. De la mort du silence       Du silence   VERSE 2 : Pour l’avenir de tes gosses qui seront pourchassés Dans cette prison modèle qu’est Fleury-Mérogis 5 par cellule il reste une place pour ton fils. Depuis que la peine de mort est administrative Tu les as vu s’marrer tous nos grands justiciés Telle une meute de clébards qu’on jette à la curée. CHORUs: Le pays est fliqué citoyen surveillé. Le mangeur d’homme a faim. Pas sûr du lendemain.    Le mangeur d’homme a faim.   Pas sûr du lendemain. [Solo] VERSE 3 : C’est dans tes prisons qu’on fabrique le crime Les Buisson Willoquet et bien d’autres Mesrine. Croîs-le la main tendue vaut mieux que les chaînes Surtout quand tu es gosse tu apprends vite la haine. [Solo] Destiné à crever en haute sécurité Royaume du tabassage impunité calculée             Le crime est glorifié au son de la Marseillaise Et en pla - ce publique son corps est exposé. [w./solo] C’est dans tes prisons qu’on fabrique le crime Les Buisson Willoquet et bien d’autres Mesrine. C’est dans tes prisons qu’on fabrique le crime Les Buisson Willoquet et bien d’autres Mesrine. L’ordre peut régner      De la mort   Du silence.       ______________________________________________ Tabbed by Sexytom (http://lostintheseventies.blogspot.com) Comments corrections:

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Cette chanson met en lumière les violences du système judiciaire et les injustices sociales. Elle aborde la réalité des prisons comme des lieux de fabrication du crime et soulève des questions sur la définition de l'ennemi public et le rôle des autorités dans cette dynamique. L'artiste évoque des figures emblématiques du crime et critique une société où la répression prime sur la réhabilitation. Le contexte se situe au cœur des luttes sociales et des dérives de la politique sécuritaire, où les choix de l’État vis-à-vis des citoyens peuvent mener à des tragédies. La souffrance de ceux qui vivent dans la peur d'être persécutés est palpable, et l'artiste interpelle sur l'absence de dialogue et de compréhension dans cette société marquée par la méfiance.