Nos âmes perdues
Trois Cafés Gourmands
| | | | | Mais comment vas-tu, depuis toutes ces années Et puis que deviens-tu, t'es belle tu n'as pas changé Te souviens-tu, des oiseaux qui sifflaient Des dessous-entendus, des messages cachés Pour un baiser volé, un voyage lointain On s'imaginait, naufragés main dans la main On dessinait nos pas, sur la plage et les falaises Et on luttait tout bas, pour que brûle les braises A nos amours d'enfance, à nos Refrains perdus A nos heures d'errance, à nos rêves foutus A notre insouciance et que ça continue Mais que vive la danse de nos âmes perdues | | | Je parcours des papiers, je relis nos poèmes Que l'on s'échangeait, en évitant de dire je t'aime Buenos Aires t'a fait rêver, tu repenses à tes origines Deux tambours tanguaient, dans la nuit longue argentine Une aire d'autoroute, le bord du canal On traîne nos années de doute, les aprèm's automnales On fouille dans nos excuses, qu'elles soient belles, imprécises Et que le temps s'en amuse, pour qu'elles deviennent des surprises A nos amours d'enfance, à nos Refrains perdus A nos heures d'errance, à nos rêves foutus A notre insouciance et que ça continue Mais que vive la danse de nos âmes perdues A nos amours d'enfance, à nos Refrains perdus A nos heures d'errance, à nos rêves foutus A notre insouciance et que ça continue (et que ça continue) Mais que vive la danse de nos âmes perdues A nos amours d'enfance, à nos Refrains perdus A nos heures d'errance, à nos rêves foutus A notre insouciance et que ça continue (et que ça continue) Mais que vive la danse de nos âmes perdues ||||| || Et que ça continue De nos âmes perdues A nos amours d'enfance, à nos Refrains perdus A nos heures d'errance, à nos rêves foutus A notre insouciance et que ça continue (et que ça continue) Mais que vive la danse de nos âmes perdues ||||| ||||