Louisa
Trois Cafés Gourmands
Louisa, c'est un rêve, la douceur de mes nuits C'est un songe sur la grève, vous en rêveriez aussi Louisa, si je dors ne me réveille pas T'es si belle mon amour, le ciel est jaloux de toi Louisa, c'est l'hiver quand tu es loin de moi C'est l'enfer quand je ne sens plus tes doigts Louisa dans tes veines, coulent mes plus beaux accords Louisa si tu m'aimes, chuchote-le moi plus fort Louisa, le feu et l'espoir brûlent, aidez-moi Ton égo, très coureur, a tout fané, je crois Louisa, ce soir, je dérive au vent, je tournoie Je tangue et je doute, je divague au désarroi Louisa, c'est l'hiver quand tu es loin de moi C'est l'enfer quand je ne sens plus tes doigts Louisa dans tes veines, coulent mes plus beaux accords Louisa si tu m'aimes, chuchote-le moi plus fort Louisa, si plus tard on venait à se revoir Au détour d'une rue, sache que mon coeur est battu Louisa, les étoiles filent dans nos derniers baisers Et je reste immobile et tatoué de ton prénom imprégné Louisa, c'est l'hiver quand tu es loin de moi C'est l'enfer quand je ne sens plus tes doigts Louisa dans tes veines, coulent mes plus beaux accords Louisa si tu m'aimes, chuchote-le moi plus fort Louisa dans tes veines, coulent mes plus beaux accords Louisa si tu m'aimes, chuchote-le moi plus fort ||| | | | | | | | ||| | | | | | | | ||| | | | | | | | Louisa dans tes veines, coulent ses plus beaux accords Louisa si tu l'aimes, chuchote-le-lui encore