Plaine, ma plaine

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Plaine ma plaine. Plaine ô mon immense plaine Où traîne encore le cri des loups Grande steppe blanche de chez nous Plaine ma plaine. Dans l'immensité de neige Entends-tu le pas des chevaux ? Entends-tu le bruit de ces galops ? Plaine ma plaine. Entends-tu ces voix lointaines ? Les cavaliers qui vers les champs reviennent Sous le ciel chevauchent en chantant Plaine ma plaine. Sous l'épais manteau de neige La terre enferme dans sa main la graine Qui fait la récolte de demain. Vent de ma plaine. Va t'en dire aux autres plaines Que le soleil et les étés reviennent Pour tous ceux qui savent espérer Plaine ma plaine. Ô vent de ma plaine Tu peux gémir avec les loups L'espoir est à nous plus fort que tout

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S'il chante

G, C, F

Vive la rose

C, F, Am, G7

On va-t-y n'avoir du plaisir

D, A7

Prendre un p'tit coup

C, F, Em, Am, Dm, G7

Ah! si mon moine voulait danser

F, C7

Souvenirs d'un vieillard

C, G7, B7, Em, Dm

Le marché et la semaine

A, D

Le marché et les saisons

C, G7, F

L'arbre est dans ses feuilles

G, C, D

La canson de la coupo

G, D, A7, D7, Am

Cette chanson évoque une vaste plaine, symbole de beauté et de mystère, où résonnent encore les échos du passé. L'immense étendue de neige recèle des souvenirs des cavaliers qui reviennent des champs, tandis que les bruits des chevaux évoquent une atmosphère vivante malgré le froid. La terre, cachée sous son manteau hivernal, porte en elle la promesse de nouvelles récoltes, comme un symbole d'espérance pour l'avenir. Dans ce paysage, le vent s'élève et porte un message vers d'autres horizons, rappelant que, même dans les moments sombres, la lumière et la chaleur des étés reviennent toujours pour ceux qui gardent foi en l'avenir. La force de l'espoir s'affirme, transcendant les épreuves, et l'on ressent un profond lien avec cette plaine, témoin des cycles de la nature et de la vie.

Le Chansonnier