Bonnie

Tire le coyote

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Une sorte d'ivresse étrange Qui cogne à ma fenêtre Qui traîne dans mon jardin Et dans le coeur des amoureux Allumeuse de feu Une ivresse étrange Mais la chienne me prend au corps Tempête encore Dans ma prison d'origine Marchons quand même ensemble Malgré l'effort Malgré la chienne Ahhh Ahhhh Ahhh Ahhh Ahh Et j'ai enfin touché la douceur Du bout de mon rêve J'ai effleuré le tien Des années d'attente Pour apposer mon étampe Sur tes lèvres de satin Dans la pénombre de ton refuge Jusqu'à l'émoi Je m'épuiserai devant toi Oubliant l'étrange et la chienne Découvrant tes lèvres Blotti dans ton refuge Ahh Ah Ahh Ah Ahh Ah Ahh Ah Ahh

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Jeu vidéo

F#m, A, C#m, D, E, G, Dm, F#

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D, G, A, F#m, E5

Cette chanson évoque une sorte d'état d'esprit mélancolique et passionné, où les souvenirs et les désirs se mêlent dans une danse délicate. L'artiste parle d'une quête presque désespérée pour atteindre l'intimité avec l'autre, tout en naviguant à travers les tumultes de la vie et les obstacles intérieurs. Les métaphores de l’ivresse et de la tempête soulignent la lutte entre le passionné et le quotidien, mais il y a aussi un moment de douceur où la connexion se fait palpables, comme une promesse murmurée dans l'ombre. Ce voyage émotionnel se déroule dans un contexte de recherche de réconfort et de compréhension, où les êtres aimés deviennent des refuges dans un monde hésitant. L'approche de l'artiste montre qu'il y a toujours une lueur d'espoir, même face aux défis.

Le Chansonnier