Je m'appelle Bagdad

Tina Arena

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j'ai vécu heureuse dans mes palais d'or noir et de pierres précieuses le Tigre glissait sur les pavés de cristal mille califes se bousculaient sur mes carnets de bal    On m'appelait la cité pleine de grâce dieu comme le temps passe         On m'appelait capitale de lumière dieu que tout se perd   Je m'appelle bagdad   et je suis tombée   sous le feu des blindés   sous le feu des blindés je m'appelle bagdad   princesse défigurée et shéhérazade   m'a oubliée    m'a oubliée   ... (À la fin, changement de tonalité) : mes contes des mille et une nuits n'intéresent plus personne ils ont tout détruit ils ont tout détruit je m'appelle bagdad     et je suis tombée                      sous le feu des blindés sous le feu des blindés                       je m'appelle bagdad     princesse défigurée et shéhérazade   m'a oubliée   m'a oubliée

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La chanson évoque la grandeur et la beauté passée de Bagdad, une ville riche en histoire et en culture, symbolisée par ses palais et ses traditions. L’artiste raconte comment cette cité, autrefois pleine de vie et de splendeur, a été détruite, laissant derrière elle un vide et une douleur profonde. On sent une nostalgie poignante pour un passé où la ville était un symbole de lumière et de grâce, contrastant désormais avec la réalité tragique des conflits et des destructions. Ce morceau prend racine dans un contexte de violences et de guerres qui ont frappé la région, soulignant non seulement la souffrance d’un lieu emblématique, mais aussi le chagrin d’un peuple dont l’histoire et l’identité sont mises à mal. La transformation de Bagdad en une "princesse défigurée" est un puissant rappel des conséquences dévastatrices de l'oubli et de la destruction.