Can't You Hear me Knocking

The Rolling Stones

Transposer:

  Yeah, you got satin shoes   Yeah, you got plastic boots   Y'all got cocaine eyes   Yeah, you got speed-freak jive Can't you hear me knockin' on your window Can't you hear me knockin' on your door Can't you hear me knockin' down your dirty street, yeah   Help me baby, ain't no stranger Help me baby, ain't no stranger Help me baby, ain't no stranger Can't you hear me knockin', ahh, are you safe asleep? Can't you hear me knockin', yeah, down the gas light street, now Can't you hear me knockin', yeah, throw me down the keys   Alright now Hear me ringing big bell tolls Hear me singing soft and low I've been begging on my knees I've been kickin', help me please Hear me prowlin', I'm gonna take you down Hear me growlin', Yeah, I've got flatted feet now, now, now, now Hear me howlin', And all, all around your street now Hear me knockin', And all, all around your town (...)

Du même artiste :

La chanson évoque une quête désespérée de connexion et d'assistance. Le protagoniste frappe à la porte de quelqu'un, exprimant son besoin d'aide tout en se présentant comme une figure familière, mais peut-être un peu trouble. Il décrit un mélange d'éléments de la vie urbaine, des rencontres nocturnes et des sensations de solitude, tout en interpelant l'autre sur leur sécurité et leur disponibilité. Dans un contexte plus large, la chanson peut refléter les thèmes de la marginalité et de la recherche de réconfort dans un environnement souvent impitoyable. Les références à des éléments comme les "chaussures en satin" et les "yeux de cocaïne" témoignent d'une certaine culture urbaine des années 70, où les excès et les luttes personnelles se mêlent. C’est une exploration de la vulnérabilité humaine confrontée à la dureté de la vie.