Téléphomme

Téléphone

Transposer:

Je suis tout seul chez moi je t'appelle et tu ne    réponds pas Pourtant je sais tu es la c'est toi ce n'est pas toi Une voix me dit de faire le quinze    quatre cent cinquante quinze quarante huit Attendre les trois coups et puis faire le douze, raccrocher faire le treize le quatorze et puis Attendre    (4x) Je suis tout seul chez moi je t'appelle je       n't'ai pas Pourtant je sais tu es la tes lèvres bougent mais je ne t'entends pas C'est toi qui me dit de faire le quinze    Quatre cent cinquante quinze quarante huit Attendre les trois coups et puis faire le douze raccrocher faire le treize le quatorze et puis Attendre    (7x) Attendre Attendre Attendre Attendre    (4x) Attendre Attendre Attendre                    Et plus j'attends plus je sens le poids du temps sur mon coeur écrasé doucement étouffé Et plus j'attends plus je sens le poids du temps sur mon corps fatigue doucement asphyxié Et plus j'attends plus je me sens crevé  condamné condamné Et plus j'attends plus je me sens crevé  condamné condamné à Attendre    (4x)

Du même artiste :

empty heart empty heart Bm, D, C#7, Em, F#, Bm/A, G, A
empty heart empty heart C, F, G, Am, Em, G/B, G4
empty heart empty heart A, G, D, C, B, E
empty heart empty heart E, A, B, D
empty heart empty heart A, D7, E7
empty heart empty heart D, D4, A, G, E
empty heart empty heart E, D7, A, B7, F#m7
empty heart empty heart A, A7, D, F, E, A4
empty heart empty heart Bm7, Em7
empty heart empty heart Em, C, D, A, G
La chanson évoque l'isolement et la solitude ressentis par quelqu'un qui essaie désespérément de contacter un proche, tout en ayant l'impression que cette personne est là, mais inaccessible. Le protagoniste se retrouve coincé dans un cycle d'attente, jonglant avec des numéros de téléphone et des instructions qui semblent vaines, illustrant une frustration croissante. Plus le protagoniste attend, plus le temps pèse sur lui, entraînant une sensation de fatigue profonde et d’abandon. Cette attente devient alors une métaphore du désespoir, où l’espoir de connexion ne fait qu'accentuer le sentiment de vide.