Sur la route

Téléphone

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Rouler toute la nuit et la journée entière Sans savoir où l'on va et pourquoi on y va Je cours après un rêve dans mon coeur accroché Qui me crève la peau sans jamais se montrer Je suis sur la route, je suis en déroute         Je suis sur la route et j'en ai rien à foutre Je suis sur la route, je suis en déroute Je suis sur la route,  Non... C'est pas c'que j'ai laisse, j'sais pas c'que vais trouver Mais il fallait partir, partir pour oublier J'ai pas peur de crêver, pas peur de déjanter J'ai pas peur d'y penser, tu sais j'suis pas prêt d'arriver Je suis sur la route, je suis en déroute Je suis sur la route et j'en ai rien à foutre Je suis sur la route, je suis en déroute Je suis sur la route,  et j'en ai rien a foutre, rien a foutre Roulez, roulez, roulez, roulez, roulez, roulez, roulez, roulez, Sur la route, en déroute, rien à foutre, rien à foutre Rien à foutre, non non... Je suis sur la route            Stop

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La chanson évoque un voyage solitaire et introspectif, où le protagoniste avance sans véritable destination, animé par un rêve insaisissable qui le pousse à continuer malgré ses incertitudes. Il exprime une quête de liberté, avec une certaine désinvolture face à l'inconnu, prêt à affronter les défis sans se soucier du résultat. Cet élan de départ semble être une nécessité pour échapper à un passé trouble ou à des souvenirs douloureux. Le contexte de cette chanson trouve un écho fort dans les années 80, une époque marquée par une soif de liberté et de découvertes, tant sur le plan personnel que sociétal. Elle évoque le sentiment de désorientation qui peut accompagner les périodes de transition dans la vie, où chaque voyage devient une métaphore de nos propres chemins.