Le taxi las

Téléphone

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Par la lun'... nette arrière Défilent ... les lumières Et devant ... t'emmener Là où tu dis qu'tu dois ... Il sinusoïde ... dans la ville Humide ... il pourra te montrer  Ce que tu veux bien voir ... si tu n'es pas pressé Donne l'adresse ... et pose tes fesses Maintenant tu peux rêver ... je te conduis; allez, allez ! Ce taxi-là, c'est moi, qui t'emmène où tu veux Ce taxi-là est là, je ferai de mon mieux De mon mieux ... De mon mieux ... STOP Si tu veux l'arrêter Fais signe de payer, signe de monnayer Là où tu as choisi Tout le monde obéit, le monde est petit Oui, si tu veux l'arrêter Il se pose, te dépose Comme un cygne sur le lisse mica Il s'en va loin de toi, loin, loin Ce taxi-là, c'est toi, qui t'emmène où tu veux Ce taxi-là, c'est moi, je t'emmène où tu veux Ce taxi-là, c'est toi, qui t'emmène où tu veux Ce taxi-là s'en va, tu fais ce que tu veux Ce taxi-là c'est moi, qui t'emmène où tu veux Ce taxi-là s'en va, excuse-moi du peu        Oh  ! oh  ! oh  ! ouh ouh ouh Excuse-moi du peu T'excuse pas du peu Je ferai de mon mieux Allez, allez, allez, allez !

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La chanson évoque l'idée d'un voyage sans contrainte, où le chauffeur de taxi propose de conduire son passager vers n'importe quelle destination, tant qu'il laisse place à l'imagination et au rêve. Le ton est léger et engageant, avec une promesse de faire de son mieux pour satisfaire les désirs du voyageur. En filigrane, on ressent une invitation à se laisser porter par le moment, un appel à apprécier le chemin plutôt que de se précipiter vers la fin de la course. Le contexte peut aussi faire penser à une métaphore de la vie, où chacun est à la fois conducteur et passager dans son propre parcours, prenant des décisions sur la direction à suivre. Cela souligne l'importance de profiter des instants présents, même au milieu d'une ville parfois étouffante.