Le jour s'est levé

Téléphone

Transposer:

Le jour s'est levé Sur une étrange idée Je crois que j'ai rêvé Que ce soir je mourais Le jour s'est levé Plein de perplexité Si ce n'était pas un rêve Qu'il faille s'en aller s'en aller                 Comme le jour avançait En moi je pensais Si ce n'était pas un rêve J'ai tout à aimer Quand le jour s'est couché J'ai réalisé Que ce n'était qu'une trêve Dans ma réalité Nous sommes ici pour croire Rien d'autre à laisser croire Croire que l'on meurt ce soir Pour qui veux bien voir Le voile est levé Sur ma pauvreté Qu'ai-je donc à garder Qui ne sera soufflé Oui, le voile est levé Tout est si coloré Qu'ai-je donc à donner Que la nuit m'a soufflé Nous sommes ici pour croire Rien d'autre à laisser croire Croire que l'on meurt ce soir Et qu'il est déjà tard Déjà tard Mais pas trop tard A toi de voir A toi de croire Le jour s'est levé Sur cette étrange idée La vie n'est qu'une journée Et la mort qu'une nuit La vie n'est ajournée Que si la mort lui nuit

Du même artiste :

empty heart empty heart Am, Am/G, D9, F, D7, G, D
empty heart empty heart D, Bm, F#m, A, G
empty heart empty heart A, F#m, B, D, E
empty heart empty heart A, G, D, C, B, E
empty heart empty heart A, D7, E7
empty heart empty heart A, B4/A, Amaj7, A2, A4, E, Bm7, A5, B5, Dm/A, B, C, D, G
empty heart empty heart D2, Bm, F#m, A, G
empty heart empty heart A7, E7, D, A, C#m, Bm, E
empty heart empty heart A, F#m, A7, D, F, B7, D7, F7, Dm/A, G, F#, F/A
empty heart empty heart A, F7, D/Gb, F, G, E, D
La chanson explore les thèmes de la vie, de la mort et de l’incertitude qui les entoure. Elle évoque l'idée qu'au lever du jour, une réflexion profonde sur notre existence s'impose, nous faisant questionner si tout cela n’est qu’un rêve et si la fin de notre vie est imminente. Au fil des vers, l’artiste laisse transparaître une volonté de vivre intensément, de comprendre que la vie est un passage éphémère, comparable à une journée, tandis que la mort serait simplement une nuit. Cette méditation sur le temps nous pousse à réaliser que nous avons tant à aimer, à donner, et à croire, même face à la vulnérabilité de notre condition humaine.