Au coeur de la nuit

Téléphone

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J'avais un ami Mais il est parti  Ce sens à ma vie Il n'est plus en vie Il m'a tout donné  Puis s'est effacé Sans me déranger  Et je crois j'ai pleuré, j'ai pleuré Tout au fond, l'air d'un con, envie de me casser Voudrais bien essayer, voudrais bien continuer, continuer Un moment, un instant, j'ai cru oublier En parlant, en marchant, à Paris, à minuit, dans ma ville Quelques mots perdus, dans la nuit Quelques mots qui traînent, à minuit Quelques mots qui cognent au coeur de la nuit Mais la nuit ne peut pas entendre Non la nuit ne peux pas comprendre C'est à croire       Que la nuit n'a pas de cœur   Instrumental : J'avais une amie  Maintenant c'est fini Ce sens à ma vie  Mais je n'ai plus envie Et j'ai tout donné J'ai tout dépensé Pour ce souvenir  Ce rêve éveillé, réveillé Plus un rond, l'air d'un con, envie de me cacher Voudrais bien essayer, voudrais bien continuer, continuer Un moment, un instant, j'ai cru oublier En parlant, en marchant, à Paris, à minuit, tout près d'ici Quelques mots perdus, dans la nuit Quelques mots qui traînent, à minuit Quelques mots qui cognent au coeur de la nuit Mais la nuit ne peut pas entendre Non la nuit ne peux pas comprendre C'est à croire       Que la nuit n'a pas de cœur  

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Cette chanson évoque la douleur de la perte d'un proche, un ami qui a disparu et dont l'absence laisse un vide immense. Le narrateur se sent perdu, nostalgique, et cherche désespérément à oublier cette présence qui lui donnait un sens à sa vie. À travers ses déambulations nocturnes dans la ville, il se rend compte que même dans l'agitation de Paris, la nuit ne peut pas comprendre sa peine ni l’accompagner dans son chagrin. Les mots qu'il trouve restent sans écho, soulignant l'impuissance de la nuit face à sa souffrance. C'est une réflexion sur la solitude et le poids des souvenirs qui ne s'effacent pas.