Deux mains

Sylvie Vartan

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Intro : /  (A noter que dans cette version la tonalité est F) Deux mains Ça ressemble à n’importe quoi C’est ça c’est rien c’est fait de doigts  Deux mains Qu’elles soient chargées d’or de diamants  Ou bien Brûlées par la mer et le vent               Deux mains Ça peut trouver deux autres mains Et les garder jusqu’au matin  Deux mains Ça peut pour une bague au doigt  Deux mains Un jour trembler trembler de joie Ça peut aussi parler d’amour  Faire oublier la nuit le jour  Ça peut montrer le ciel offert  Ou vous pousser jusqu’en enfer  Comme les aiguilles des pendules  Le temps les sépare sans scrupule  Un jour pour un mot pour un rien  Ça claque la porte un matin Deux mains Ça souffre de n’rester qu’à deux Mais ça fait un signe d’adieu  Deux mains Quand il est trop tard ça se tend  Deux mains Mais ça ne trouve que du vent Deux mains ça brille alors de larmes Deux mains ça brille alors de larmes   Instrumental : Qu’elles soient chargées d’or ou brûlées  Par le vent Deux mains ça devient implorant  Deux mains Deux mains ça se joint en priant                        

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La chanson évoque la symbolique et la puissance des mains. Elle souligne que, qu'elles soient ornées de richesses ou marquées par les épreuves, les mains peuvent établir des connexions profondes entre les personnes. Elles peuvent être le vecteur de l'amour, de la joie, mais aussi de la souffrance et de l'absence. Les mains agissent comme un miroir de nos émotions, capable de tendre et d'implorer, mais aussi de s'éloigner lorsque le temps les sépare ou que la vie prend un tournant difficile. L'ensemble de ces réflexions illustre la complexité des relations humaines et la fragilité des liens qui nous unissent.