Metropolitain

Superflu

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(2x) Une  fille sur le quai d'en  face Un carton à dessins Un livre dans la  main On  dirait que quelque  chose l'agace Est-ce le métro qui  tarde ? Un  garçon qui la regarde ? Oh mon  Dieu s'il te  plaît Puisse  ce métro n'arriver jamais Une  fille sur le quai dé sert Elle regarde sa  montre Peut-être une rencontre Nous  deux dans ce palais sous terre Un clochard qui sommeille Je suis sûr qu'il nous  veille Oh mon  Dieu s'il te  plaît Puisse  ce métro n'arriver jamais Oh mon  Dieu prends  soin Des  enfants du métropolitain (4x) Une  fille sur le quai d'en  face Devant une affiche Pour le savon des gens  riches Et  puis le métro l'efface La voilà qui disparaît Sans m'avoir regardé Oh mon  Dieu s'il te  plaît Puisse  ce métro ne démarrer jamais Oh mon  Dieu prends  soin Des  enfants du métropolitain

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empty heart empty heart G, Bm, C, Am, Dm
La chanson évoque une rencontre potentielle entre deux personnages dans une station de métro. Une jeune fille, absorbée par un livre et un carton à dessins, semble quelque peu agacée par l'attente du train. Pendant ce temps, un garçon la regarde, espérant un moment partagé, tandis qu'un clochard, dormant dans le coin, semble veiller sur eux. Le refrain, qui invoque une prière à Dieu, souhaite que le métro ne vienne jamais, prolongeant cette atmosphère de rencontre suspendue. Le contexte de cette scène se déroule dans l'underground urbain, à l'image d'une vie citadine où chaque instant peut mener à une connexion imprévue. L’image du métro, souvent synonyme de rapidité et de mouvement, contraste avec le désir d’immobilité de ces jeunes, créant une tension entre l'attente et le passage, entre l'instant présent et le futur incertain.