Dieu que cette nuit est belle

Superflu

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Puisque tu laisses au vent le soin De m'apporter de tes nouvelles Je laisse la fenêtre ouverte et j'attends Puisque tu laisses aux autres la chance De savoir ce que tu deviens Je leur demande souvent si tu vas bien Dieu que cette nuit est belle       Dieu que cette ville est grande       Et tu me manques encore ce soir Puisque tu laisses ton absence s'installer chez moi Elle prend ses aises, elle fait comme chez elle Je ne reste pas Puisque tu laisses les hivers S'ajouter aux hivers Si bien qu'ils semblent dire Chacun sa peine Chacun sa peine Chacun sa peine Chacun sa peine Dieu que cette nuit est belle Dieu que cette ville est grande Et tu me manques encore ce soir (2x) Puisque tu laisses au vent le soin De m'apporter de tes nouvelles Je laisse la fenêtre ouverte et j'attends

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La chanson évoque les sentiments de manque et d'absence, avec une personne qui attend des nouvelles d’un proche. Elle laisse la fenêtre ouverte, symbolisant l’espoir et la vulnérabilité face à cette attente. La beauté de la nuit et la grandeur de la ville contrastent avec la solitude ressentie, chaque hiver renforçant cette douleur de l’absence. Le chanteur fait référence à une sorte de désespoir, où chacun porte sa propre peine, tout en cherchant à s'accrocher à ce qui reste de leur lien. L’ambiance qui ressort est à la fois mélancolique et poétique, notamment par ces images de l’absence infiltrant son quotidien.