Les Tartines

Sttellla

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[Intro] [Verse 1] Ton ventre crie farine Tu es morte de pain Tu manges des tartines Dans ta salle de pain La mie porte conseil Il faut casser la croute A la prochaine bretzel On quitte l’autoroute [Chorus] A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches - gros sandwiches A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches [Verse 2] Dans ton appartement De vingt miettes carrées Tu répares des grille-pains Et ta vie est toaster Tu ranges les croissants Dans l’ordre des croissants C’est là ton dur labeur De cereal killer [Chorus] A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches - gros sandwiches A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches [Solo] [Verse 3] Le soir pour oublier Tu sors en biscothèque Tu passes tes soirées Près du biscuit-jockey Quand il a mis Bruel Tu t’es mise a griller Tu t’es cassé l’avoine Et t’as perdu du blé [Chorus] A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches - gros sandwiches A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches - gros sandwiches A force de beurrer des tartines chachacha Tu vas t’attirer de gros sandwiches

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Cette chanson évoque de manière humoristique la vie d'une personne obsédée par la nourriture, plus particulièrement par le pain et les tartines. On imagine quelqu'un qui, coincé dans une routine alimentaire, se retrouve à jongler avec des galettes et des croissants, tout en trouvant des moments de légèreté dans des soirées autour du grignotage. Les métaphores sur les aliments soulignent un quotidien un peu absurde, où casser la croûte devient une activité centrale et où les sandwiches affichent leur menace en arrière-plan. Le contexte peut faire sourire, car il met en scène des scènes de la vie quotidienne où des petites manies alimentaires prennent souvent plus d’importance qu’elles ne devraient. C'est une manière ludique de parler des travers de notre rapport à la nourriture et de l'excès de sérieux avec lequel on peut parfois aborder des choses simples.