Looks Like Chaplin

Stereophonics

Transposer:

LOOKS LIKE CHAPLIN As recorded by the Stereophonics (From the 1997 Album WORD GETS AROUND) [Intro] [Verse 1] I feel the wash close down the street Yet Chaplin walks feet nine fifteen And I hear them hear them call his name And I see him see him turn away   They take him in    and clean him up                 [Verse 2] Well they take him in and strip him down They dry his skin and feed him wine And I hear them hear them call his name And I see him see him turn away   Asks to use the phone Yet he lives alone he lives alone [Outro] There’s no one no one home to phone sits alone at home He calls his home his own His wife is still unknown

Du même artiste :

empty heart empty heart D, Bm, F#m, A5, Em, A
empty heart empty heart Dm, C, Bb, A, G, F, E, Am
empty heart empty heart Fm, Eb, Db, Bb, Bbm
empty heart empty heart G, Am, Bm, C, D
empty heart empty heart A, D, Db, G#, G, E, C
empty heart empty heart C, Cmaj7, G, B, Bm7, D, G5, A, Am7
empty heart empty heart Am, Fmaj7, C, G
empty heart empty heart C, Am, Fmaj7, G, F
La chanson évoque une figure solitaire, un homme qui semble perdu dans la foule tout en étant entouré. On sent qu'il est confronté à une réalité qui le dépasse, illustrée par des moments où il est dépouillé de son identité, comme lorsqu'il est pris en charge et nettoyé. Malgré cela, il reste finalement isolé, n'ayant personne avec qui partager ses pensées ou son existence, sa vie personnelle étant marquée par l’absence de sa femme, encore inconnue pour lui et pour les autres. Le contexte de cette chanson semble refléter des thèmes de solitude et d'aliénation, avec un clin d’œil à une nostalgie dont on peut se sentir proche dans le tumulte du monde moderne. À travers les images, on ressent le poids de l'isolement, comme si l'individu était coincé dans une spirale où l'on attend un appel qui ne vient jamais.