Les clous

Soan

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Une poignée de clous, tu cries bretzel, assis sur ton vélo sans selle, à croire que les autres sont fous Putain le monde est mou, les étincelles volent à hauteur de teckel à croire que tout l'monde s'en fout Heureusement l'espoir nous claque des casseroles avant de retourner s'asseoir et c'est beau comme ton canapé, Heureusement que la télé, que le supermarché, que le joli sarouel et que la gentille bénévole    Se tiennent par la main, dans un délire cosmique Qu'on pose les parpaings, qu'on embrasse des flics à la fin du Refrain             (Riff) C'est beau les petits baleineaux qu'habitent Marseille Mais ça fait grimper le kilo d'shit, alors vivement qu'ils foutent le camp, Fais péter les rafiots, qu'on leur explique l'omnipotence de l'oseille, ils sont charmants les écolos Malheureusement le soir, je redeviens de droite en imaginant ma cravate et le tirage du loto Heureusement que la télé, que le supermarché, que le joli sarouel et que la gentille bénévole Se tiennent par la main, dans un délire cosmique Qu'on pose les parpaings, qu'on embrasse des flics à la fin du Refrain            (Riff)

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La chanson évoque un sentiment de désillusion face à un monde qui paraît indifférent, où les gens semblent se complaire dans une routine banale. L'image du protagoniste, assis sur son vélo sans selle, symbolise une certaine absurdité de la vie quotidienne. À travers des jeux de mots et des réflexions sur la société, l’artiste aborde la réalité moderne, mêlant humour et critique, tout en cherchant une lueur d'espoir malgré la morosité ambiante. Le texte est ancré dans un contexte urbain et moderne, nourri de références à la culture populaire comme la télévision et la consommation. Les allusions à des moments de convivialité où les gens se rassemblent, ainsi que des réflexions sur des thèmes comme l'écologie et le statut social, mettent en lumière des préoccupations contemporaines. Cela crée une atmosphère de désenchantement, mais aussi de solidarité face à l'absurdité de la vie.