Bleeker Street

Simon & Garfunkel

Transposer:

A fog's rolling in off the East River bank Like a shroud it covers Bleecker Street   Fills the alleys where men sleep Hides the shepherd from the sheep   Voices leaking from a sad café Smiling faces try to understand I saw a shadow touch a shadow's hand On Bleeker Street A poet reads his crooked rhyme Holy, holy is his sacrament Thirty dollars pays your rent On Bleeker Street I heard a church bell softly chime In a melody sustaining It's a long road to Canaan On Bleeker Street

Du même artiste :

empty heart empty heart Eb, Bb, G#, Gm, Fm, Bb7, Db, Cm
empty heart empty heart C, Dm, Am, F, Em, G, G7
empty heart empty heart A7, Am, G, E7, D, C, D7
empty heart empty heart D, G, Db, Am, B7, Em, Em7
empty heart empty heart D, G, Em, C, Cmaj7, A, A4
empty heart empty heart Dm, C, Bb, Am, A7, C7, Bb7, F, Fmaj7, C9
empty heart empty heart D, G, F#m, Em, C, A, E
empty heart empty heart Dm, Cmaj7, C, F
empty heart empty heart E, D, A, B, B7
La chanson évoque une atmosphère mélancolique sur une rue new-yorkaise, enveloppée par le brouillard. Elle décrit des scènes de vie quotidienne où des hommes dorment dans des ruelles, et où les voix fatiguées d'un café tracent des histoires de solitude et de quête de sens. Un poète y récite des vers imparfaits, illustrant la fragilité de l'existence, tandis qu'un simple loyer rappelle les luttes de chacun. Le cadre est celui de Bleecker Street, un lieu empreint d'histoire, où artistes et rêveurs se croisent. La mélodie évoque aussi une sorte d'éternité spirituelle, avec une référence à un chemin vers la dignité et l'aspiration, symbolisé ici par Canaan. Dans cet espace, tout semble se mêler : la tristesse, la beauté de l'art, et le poids du quotidien.