Île-de-France

Silvain Vanot

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Mon île à moi elle manque d'air      Et 6 mois par an de lumière          Ce n'est qu'en juin tôt le matin qu'on peut y croire Quand dans le ciel les couleurs viennent d'autre part Quelqu'un a trouvé ce nom d'île      Pour rendre nos vies plus faciles    Pas de sommeil sous nos ombrages     Pas de sommet parmi les nuages       Ce n'est qu'en juin tôt le matin qu'on peut y croire Quand dans le ciel les couleurs viennent d'autre part Quelqu'un a trouvé ce nom d'île      Pour rendre nos vies plus faciles    On veut rêver sous les étoiles       Mais les nuits blanches les avalent Ce n'est qu'en juin tôt le matin qu'on peut y croire Quand dans le ciel les couleurs viennent d'autre part Quelqu'un a trouvé ce nom d'île      Pour rendre nos vies plus faciles   

La chanson évoque un sentiment de manque, où l'auteur parle de son île, qui représente un espace de vie privé de lumière et d'air frais pendant une grande partie de l'année. En été, notamment en juin, il ressent un espoir renouvelé lorsque les couleurs s'éveillent et que la nature se transforme, apportant un nouvel élan. Ce lieu, désigné par un nom qui facilite la vie, devient aussi un symbole de rêve et d'évasion, même s'il est teinté d'une certaine mélancolie face à la réalité de la vie quotidienne. Le contexte de cette chanson est souvent ancré dans une réflexion sur la vie moderne et le besoin d'échapper à la routine pour retrouver un sens d'appartenance ou de beauté. C'est une métaphore de la quête de moments de douceur et de lumière dans un monde parfois sombre et chargé de préoccupations.