La rumeur

Sheila

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Mesures à 3 temps 2 temps | 1 temps Je n'suis pas celle qui chante, ni celle ou celui qu'ont dit À la Une de France Dimanche, "pas de fumée sans incendie" Mais qu'importe les offenses, la rumeur, c'est la calomnie. Oui                 Je n'suis pas celle qui danse à la scène, ni à la ville Je suis celle qui balance entre la mort et la vie Au petit malheur, la chance ; le French cancan, un jour, ça Nuit                Si l'histoire est un mensonge que personne ne contredit, La rumeur est comme un songe qui, jamais, ne se finit     Songer qu'encore elle me ronge ; j'ai beau nier ce qu'est dit d'Annie.              Je suis celle qui déchante, qu'on fait chanter, la-la-li La-la-la dans la tourmente, qu'elle était belle, l'agonie ! Qu'honni soit qui mal y pense, le mal est fait et les  mots Dits                 (Modulation en :) Je suis celle qui valse et danse ; dans les galas, me voici ! Entre "On-dit" et médisances, saurais-je d'où venaient les bruits? La rumeur est une mort lente, qui condamna Annie  à Vie                  Ici, les hommes se diffament ; les paroles sont travesties Quand les bouches folles s'enflamment, rien ne fait taire l'infamie   Mais que chancelle la flamme, jamais ne s'éteint la bougie Mais que chancelle la flamme, jamais ne s'éteindra   Annie .                

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Cette chanson évoque le poids des rumeurs et des jugements hâtifs auxquels une personne peut être confrontée. La narratrice se défend contre les fausses images qui circulent à son sujet, soulignant la légèreté de certains propos, mais aussi la douleur qu'ils peuvent engendrer. Elle se retrouve entre la vie et la mort, luttant contre une réputation ternie par des calomnies sans fondement. Au fil des vers, elle fait ressortir le drame des souffrances infligées par les médisances, qui se propage comme un feu incontrôlable. Le contexte de cette chanson peut servir de miroir à une époque où les jugements rapides et les rumeurs peuvent ruiner des vies. À travers cette réflexion, on ressent la brutalité du regard que les autres peuvent poser sur nous, souvent basé sur des bribes d'informations et des malentendus. C'est une invitation à la compassion et à la prudence dans nos échanges.