Le pont Mirabeau

Serge Reggiani

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

[Monologue ci-dessus] Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Espérance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure

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Cette chanson évoque la nostalgie des amours passées, qui semblent inextricablement liées au mouvement de la Seine sous le pont Mirabeau. Les souvenirs d’une joie éphémère précèdent souvent la douleur, alors que le temps s'écoule, laissant l'interprète dans une contemplation mélancolique. Il parle de la vie qui avance lentement, de l'amour qui s'échappe tout comme l'eau du fleuve, et de l'espoir qui, malgré tout, reste intense. Le contexte de cette œuvre pourrait se rattacher à une époque où la réflexion sur le temps et l'amour était particulièrement pertinente, inscrivant ces sentiments dans un cadre parisien cher au cœur de nombreux artistes. Les relations et les souvenirs prennent ici une dimension universelle, mêlant la beauté des moments partagés à la tristesse de leur fugacité.