Toute blanche

Serge Lama

Transposer:

Intro :/ / / / / Toute blanche, Dans ton habit du dimanche Ils t'ont glissée sous les planches Avec un chagrin immense Ils ont fermé tes yeux Pour l'éternité. Le coeur blême, Je me suis penché quand même Pour te souffler mon haleine Mettre du sang dans tes veines Te réchauffer un peu Tu n'as pas bougé. Instrumental :/ / / / / Ce dimanche, J'y pense encore, mais je flanche Je te portais des pervenches Pour parfumer ton silence Le ciel pour la circonstance S'est habillé d'éternité. / / / / / (Ad libitum)

Du même artiste :

Marie la Polonaise

A, Bm, E, A6/C#, A7, D, E7, A/C#, C#7, F#m, Dm

Je débute

F#, B, Em, Bm/D, C, B4, Cmaj7, Cmaj9, G, D4, D

Mourir en France

Eb, Bb7, D7, Gm, C7, Fm, Cm, F7, Ab, Bb, B7, E, A, B, F#m7, E7, Am

L'eau de vie

E, E7, A, A7, D, F, Bb, Eb, F7, Bb7

Si tu le veux

C, D, G, F#7, Bm, Em, A7, E, Am, G2

Soirée sympathique

Bbm, Bm, F7, B7, Em, Cm, G7, C7, Fm, Dbm, Ab7, Db7, Gbm, Dm, A7, D7, Gm

Où vont tous ces bateaux

C, Cmaj7, Em7, Fmaj7, F, G, G#, Am, G7, Dm, Dm7, Em

Femme, femme, femme

Cm, Cm7, Fm, Fm7, Bb, Ebmaj7, C7/E, Bb7, Eb, D7, G, G7, C, Cmaj7, C7, F, Dm7, Dm7/G, Ab7, Db, Dbmaj7, Db7, Gb, Gbm, Ebm7, Ebm7/Ab, A7, D, Dmaj7, Gm, Em7, Em7/A

Le misogyne

C, Am, G7, Cmaj7, Dm, E, Dm7

Je veux du bonheur

Fm, Eb, Cm, Bbm, C, Em5, C/E

La chanson évoque la douleur de perdre une personne chère, symbolisée par une figure habillée de blanc, comme une image de pureté et de paix. Elle exprime des sentiments de tristesse et de désespoir face à la mort, tandis que celui qui reste tente de raviver la vie en apportant son souffle et en s'accrochant à des souvenirs. Au fil des mots, une mélancolie profonde se dégage, illustrée par le geste d'apporter des fleurs pour parfumer le silence de l'absence. Le contexte semble être un dimanche, un moment traditionnellement associé à la réflexion et aux rassemblements familiaux, ce qui rend l'absence encore plus palpable. La symbolique du temps s'arrête et le ciel se teinte d'éternité rappelle la dimension spirituelle des au revoir.

Le Chansonnier