Ballade de Melody Nelson

Serge Gainsbourg

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Ça c’est l’histoire  De Melody Nelson  Qu’à part moi-même personne  N’a jamais pris dans ses bras  Ça vous étonne Mais c’est comme ça Elle avait de l’amour  Pauvre Melody Nelson  Ouais elle en avait des tonnes  Mais ses jours étaient comptés  Quatorze automnes Et quinze étés     Un petit animal  Que cette Melody Nelson  Une adorable garçonne       Et si délicieuse enfant     Que je n’ai con- Nue qu’un instant. Oh ! Ma Melody  Ma Melody Nelson  Aimable petite conne        Tu étais la condition       Sine qua non De ma raison      

Du même artiste :

empty heart empty heart Dm7, G7, Em7, Am7, C, G, F
empty heart empty heart Eb, Cm, Ab, Bb, /Bb, /Ab, /G, /F, Gm, Fm, Cb, /Db, /C, /B, E, G#m, C#m, F#m, B, A, C
empty heart empty heart Bb, Cm, F7, Gm, Dm, Eb
empty heart empty heart C, Am, F, G
empty heart empty heart Cm, Cm6, Fm, G#7, D7, G, G7, Bb, Eb, G#, Gm, D, Fm6, C, e, B, E
empty heart empty heart C, Dm, G7, Am, B7
empty heart empty heart F, C, Bb
empty heart empty heart C#m, A, F#9, Em, C, A2
La chanson raconte l'histoire d'une jeune fille, Melody, qui semble être marquée par une sorte de mélancolie et d'amour inépuisable, bien qu'elle n'ait pas eu une vie longue. Elle est décrite comme une créature délicate et charmante, mais aussi tragiquement éphémère, ce qui accentue la profondeur de l'attachement du narrateur envers elle. Il évoque des souvenirs fugaces d’une connexion intense, presque unique, qu’il a vécue avec elle, renforçant l’idée que son existence était indispensable pour lui. Dans le contexte des années 1970, cette œuvre reflète souvent les préoccupations de l’époque sur la jeunesse, l'amour et la perte, tout en empruntant des éléments d'une esthétique mélancolique et poétique propre à la sensibilité de Gainsbourg.