Je pleure sur un air de Bach

Santa Maria

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(x2) Je pleure sur un air de Bach (Je pleure sur un air de Bach) Seul dans la nuit j'attends demain (Seul dans la nuit j'attends demain) Comme le cygne sur le lac J'attends le matin Je pleure sur un air de Bach (Je pleure sur un air de Bach) Rien ne peut plus te retenir (Rien ne peut plus te retenir) Le feu qui s'éteint au bivouac A brûlé mes souvenirs Tout ton bonheur efface mon chagrin Et je suis seul La robe blanche que j'ai dans les mains Est un linceu-eul Je pleure sur un air de Bach (Je pleure sur un air de Bach) Seul dans la nuit j'attends demain (Seul dans la nuit j'attends demain) Comme le cygne sur le lac J'attends le matin (Instrumental) : Oh, oh, oh …                            Oh, oh, oh …                            Oh, oh, oh …                           

La chanson évoque une profonde mélancolie, le narrateur se retrouve seul dans la nuit, attendant l'aube avec une grande peine. Il se compare à un cygne sur un lac, symbolisant la solitude et la beauté fragile de ses émotions. Les souvenirs d’un bonheur perdu le hantent, et il ressent un chagrin teinté de désespoir. Le blanc de la robe qu’il tient entre ses mains représente à la fois l’innocence et la mort, suggérant la fin d’un chapitre de sa vie. Dans ce paysage sonore, la musique de Bach accompagne son désespoir, lui offrant à la fois un réconfort et une profondeur émotionnelle qui reflète son état d’âme. Ce contraste entre la beauté de la musique et la tristesse des souvenirs souligne la complexité des sentiments humains, entre nostalgie et espoir d'un nouveau jour.