Myosotis et violettes

Robert Paquette

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(Merci à Denis Poliquin pour l'aide pour cette partition) Intro : / Myosotis et violette, Jonquilles et marguerites La menthe et le thym en sont témoins La rose des champs, Les quenouilles du ruisseau Chantent l'envolée des moineaux. Douce comme la rosée D'une fraîche matinée Pur soleil du midi, Telle était ma mie. Refrain La lune sur son front, Le soleil dans les yeux, Son visage une aurore boréale Dentelée de rire. Refrain Un soir de fin d'été Sous un arbre au vent coloré Un rendez-vous lui ai donné Tel on s'est connus Refrain Et si jamais vous voyez La plus belle du village Dites-lui que je l'aime toujours Surtout au printemps Et si jamais vous ne me croyez pas Qu'elle était belle Allez donc le demander aux : Myosotis et violette, Jonquilles et marguerites La menthe et le thym en sont témoins La rose des champs, Les quenouilles du ruisseau Chantent l'envolée des moineaux. La rose des champs, Les quenouilles du ruisseau Chantent l'envolée des moineaux. Finale :

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empty heart empty heart Am, G, F, Em7, C
empty heart empty heart D, G, G13, G#13, A13, A, D13
Cette chanson évoque une histoire d'amour douce et nostalgique, où la beauté de la nature témoigne des sentiments profonds du narrateur. Les fleurs, comme les myosotis et les violettes, ainsi que les jonquilles et les marguerites, se mêlent aux souvenirs d'un amour passé, rempli de légèreté et de tendresse. Au fil des saisons, la voix se rappelle des moments partagés sous un arbre, où le temps semblait suspendu. Le narrateur exprime son affection éternelle pour celle qui illumine son cœur, même lorsque la distance les sépare. Dans un jeu de lumière et de couleur, son amour est comparé à des éléments naturels, mettant en avant la pureté de ses sentiments. Les souvenirs sont si forts qu'ils s'entrelacent avec la nature environnante, créant une belle symbiose entre l'homme et le monde qui l'entoure.