Un refrain ce n'est rien

Rika Zarai

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Un Refrain ce n'est rien Mais le tien c'est le mien Et lorsqu'il me revient Alors je me souviens, me souviens Je t'aimais, tu m'aimais Mais c'était en juillet Où l'amour il est vrai N'a souvent qu'un couplet, qu'un couplet Mais lorsque juillet s'envole, s'envole Je t'aime, je t'aime Les cœurs oublient aussitôt les paroles Les paroles qui disaient, nous disaient Un Refrain ce n'est rien Et le tien c'est le mien Et le temps d'un été Tout était oublié, oublié Et pourtant je t'aimais Et pourtant tu m'aimais Mais les cœurs en été N'apprennent qu'un couplet, qu'un couplet Mais lorsque juillet s'envole, s'envole Je t'aime, je t'aime Les cœurs oublient aussitôt les paroles Les paroles qui disaient, nous disaient Un Refrain ce n'est rien Mais le tien c'est le mien Et lorsqu'il me revient Alors je me souviens, me souviens Un Refrain, ce n'est rien Mais le tien, c'est le mien Et lorsqu'il me revient Et juillet n'y peut rien La la la … La la la … La la la … La la la … (ad lib)

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Prague

Em, Am, D7, G, C, B7, E7

Sans chemise sans pantalon

F6, C, C7, F, F7, Bb

Tant que tu m'aimeras

Am, E4, E, Em, F, Dm7, D, G7, C, E7, G, A#, F7, A#m, Fm, F#, D#m7, D#

Les chandelles pleurent

Dm, Gm7, C7, F, Bb, Gm, A7, E7, A, D#m, G#m7, C#7, F#, B, G#m

Où êtes-vous

F, D#, C, C7, Dm7, Gm7, A7, Dm, Dm6, G7, C#7, F#, D#m7, G#m7, D#m, D#m6, E

Ami

Em, D, C, G, Am, B7, Am7, C7, Fm, Db, Ab, Bbm, Bbm7

Michaël

A, D, Dbm, Bm, E7, Gbm, E

Casatchok

Dm, A7, F, Bb, Gm, D, Em7

Un mur à Jérusalem

F#m, B, Bm, E, A, D, C#7, G, D7, Gm, Cm, F, Bb, Eb, Ab, C

J'avais besoin de vous

D, A, C#m, E7, F#7, Bm, C#7, F#m

Cette chanson évoque le souvenir d'un amour passé, où un simple refrain fait ressurgir des sentiments oubliés. Le narrateur se remémore une belle relation d'été, marquée par des instants de complicité et de passion, mais aussi par la légèreté de la saison. Au fil du temps, les émotions s'estompent, et les promesses d'amour semblent s'effacer, comme les paroles d'une mélodie que l'on finit par oublier. Le contexte de cette chanson semble illustrer la nature éphémère des romances estivales, où tout semble magique, mais qui souvent ne laisse qu'un souvenir en passant. C'est une réflexion sur la nostalgie et les souvenirs qui ressurgissent, comme un refrain que l'on reconnaît sans vraiment se souvenir des paroles.

Le Chansonnier