Buck

Richard Desjardins

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Intro : À part que'que frappabords, j'ai passé un bel été Les yeux d'in nénuphars, pleins de prospects, plein de beautés C'est tellement vrai que même des fois le soleil voulait même pas se coucher La criss de paix, oh ya ! La vie rêvée, oh yé ! Je pourrais jaser longtemps, mais j't'en train de mourir au bout de mon sang.     Une autre histoire d'amour qui finit mal, comme dans le journal Ça commencé le printemps passé en regardant les oiseaux s'apprécier C'est beau la solitude, mais comme on dit : "à deux, c'est mieux" Justement y en a une qui brette dans le coin, une belle grande brune Ces beaux yeux si mouillés que, quand je la vois, je passe proche de m'noyer   Est installée sur le p'tit lac, à côté avec ses p'tits, célibataire Moi, j'men mêle pas j'saurais même pas quoi faire À tous les matins, 8 heures moins quart je passe là par hasard, J'la vois de loin « besoin de rien ? c'pas grave, je r'passerai demain En attendant, moé j'tape la trail est là pour ça, si t'as besoin d'aide » Un beau matin, à m'lâche un call : à m'dit : « t'aurais tu ça, une belle quenouille ? » Moé, j'me suis dit : à se cherche un mâle, rien que dans sa voix, je sais qu'à mouille J'saute dans l'eau, j'sus propre, propre, propre reste pu rien qu'à m'shiner la petite couille De temps en temps, un p'tit frotte frotte, c'te patente là, faut pas qu'à rouille En rut pour le bonheur pis on sait jamais p't'être même pour la grande chatouille   Ti pas, ti pas, ti pas, cré moé tu, j'men vas par là. Ti trot, ti trot, ti galop. Mon p'tit coeur léger comme un mashmallow Y a du fun dans ma cabane, d'la boucane dans le shack Pis moé, j'trippe comme une banane. Gros galop, j'ten overflow. Le ciel est blue, ma vue est floue, j'sus, j'pus, j'sais pu où chu rendu. Tout à coup, j'entends des voix on dirait ben qu'est pas toute seule Que c'est que je fais, j'y vas pareil. J'sors du bois, que c'est que je vois Non mais dites moi que c'est pas vrai, une 303 braquée drette dans ma face Pis bang, bang, faut que je m'efface faut que j'débarrasse Me vire de bord, me pogne d'in branches pis j'm'accroche le panache Nous, pauvres cervidés quand on aura des chars On fera des défilés sur la 3ième à Val-d'Or On posera sur nos capots des têtes coupées de chasseurs Pis on laissera leurs sabots chesser dans l'congélateur

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empty heart empty heart A, E, A7, D, Bm7
empty heart empty heart G, A, D, C, D/F#, Em, Bm, Am, G/F#, G/B, D/A, A7/4, D4, Em7
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empty heart empty heart Bm, F#m, A, D
empty heart empty heart D, G, Am, C, D/F#
Dans cette chanson, l'artiste évoque un été paisible, rempli de beauté et de promesses. Il parle d'une rencontre amoureuse compliquée, soulignant la beauté de la solitude tout en évoquant le désir d'une connexion plus profonde. Le récit bascule avec l’apparition inattendue d’une menace violente, transformant cette atmosphère légère en un moment de peur et de tension. Le contexte semble jouer sur les contrastes entre des moments de tranquillité et des réalités plus sombres, telles que la prédation et la violence de la chasse, illustrant une certaine ironie sur la vie sauvage et les relations humaines. C'est une réflexion sur la fragilité de l'existence et sur les surprises que la vie peut nous réserver.