Inch'allah
Richard Anthony
J'ai vu l'orient dans son écrin avec la lu-ne pour bannière Et je comptais en un quatrain chanter au mon-de sa lumiè-re. Mais quand j'ai vu Jérusalem, coquelicot sur un rocher J'ai entendu un requiem, quand sur lui, je me suis penché. Ne vois-tu pas, humble chapel-le, toi qui murmures "paix sur la terre" Que les oiseaux cachent de leurs ai-les ces lettre defeu "Danger frontière Mais voici qu'a-prés tant de hai-ne fils d'Ismaël et fils d'Israël, Libère d'u-ne main serei-ne une colom-be dans le ciel... Inch'Al-lah... Inch'Al-lah... Inch'Al-lah... Inch'Al-lah... Et l'olivier retrouve son om-bre, sa tendre épou-se, son amie Qui reposait sur les décom-bres prisonnières en ter-re ennemie. Et par dessus les barbelés, le papillon vole vers la ro-se. Hiers on l'aurait répu-dié, mais aujourd'hui enfin il o-se. Requiem pour le mil-lions d'â-mes de ces enfants, ces femmes, ces arbres Tombés des deux coté du drâ-me assez de sang sallam shalom... Inch'Al-lah... Inch'Al-lah... Inch'Al-lah... Inch' Al__lah... (oho-ho oho-ho oho-hooo hooooo...)