Liverpool

Renée Martel

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Intro :     Liverpool  Liverpool... Des fumées d'usine coiffent la ville d'ocre de rouge et de violet (Liverpool) Un cargot français qui s'est perdu dans le brouillard du ciel anglais (Liverpool) Et là-haut sur le pont d'acier qui grince dans le vent L'un vers l'autre ce soir-là s'approchent deux amants (Liverpool...Liverpool...) Une grue géante amène à quai le thé, la menthe et le bouton (Liverpool) Dans un grand soleil de projecteurs et de poussière de charbon (Liverpool) Et là-haur sur le pont d'acier, la fille tend les mains Mais sans un regard, le garçon passe son chemin (Liverpool...Liverpool...) Deux milles ouvriers quittent l'usine et rentrent chez-eux dans l'hiver (Liverpool) Et tombe la nuit, tombe la mort sur les navires et sur la mer (Liverpool) Et là-haut sur le pont d'acier, les yeux noyés de pleurs La fille pousse un cri pareil au cri d'un remorqueur (Liverpool...Liverpool...)     Liverpool... Liverpool... Et là-haut sur le pont d'acier,  les yeux noyés de pleurs La fille pousse un cri pareil au cri d'un remorqueur (Liverpool...Liverpool) (Liverpool...Liverpool...Liverpool...Liverpool...)

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La chanson évoque une ville aux couleurs sombres, où l'industrialisation crée une atmosphère mélancolique. Dans ce décor, deux amoureux se croisent sur un pont, mais leurs chemins ne se rejoignent pas, symbolisant la séparation et la solitude. Le bruit des machines et l'odeur de l'usine enveloppent leurs rêves, tandis que la nuit tombe sur la mer, apportant avec elle une lourde tristesse. Les images de la vie quotidienne, entre espoir et désespoir, se mêlent dans un souffle poignant, soulignant la fragilité des relations humaines.