Appelle quand tu te reveilles

Renan Luce

Transposer:

(Tonalité originale : Dm)   Intro : Appell’-moi quand tu t’ réveilles  Je suis déjà dehors... J’ai bien suivi ton conseil :  Me suis levé à l’aurore. Et c’est vrai ça a du charme  La ville au p’tit matin. L’air est frais ça donne des larmes  Qui sont pas du chagrin.  Je garde les mains dans les poches  Et comme la nuit décline J’ai cet air dans la caboche  Dauphin de la place Dauphine. Mais tu sais c’est pas pour rien  Si j’écourt’ mon sommeil. Je te dirai si t’y tiens  Appell’ quand tu t’ réveilles ! Appell’ quand tu t’ réveilles. Moi c’que j’ai sur le coeur  C’est pas l’ genre qu’on bégaye sur un répondeur. Appell’ quand tu t’ réveilles !  J’pourrais plus m’ débiner  Quand y aura ton oreille sur le combiné. Appell’-moi quand tu t’ réveilles.  Maint’nant à l’horizon Y a un’ jolie flaque vermeille  Au-dessus des maisons. Les quartiers que je franchis  Ont tous leur anecdote Un manteau de nostalgie  Que le temps détricote.  Je sors les mains de mes poches  Pour attraper au vol Les souvenirs qui ricochent  Du temps d’nos amours folles. Mais tu sais que même froissé  Au fond d’une corbeille Je déplierai le passé.  Appell’ quand tu t’ réveilles. Appell’ quand tu t’ réveilles. Moi c’que j’ai sur le coeur  C’est pas le genre qu’on bégaye sur un répondeur... Appell’ quand tu t’ réveilles.  J’pourrais plus me débiner  Quand y aura ton oreille sur le combiné.  (Instrumental) Appell’-moi quand tu t’ réveilles  J’arriv’ chez ta maman. J’la connais j’m’ déconseille  De sonner pour l’moment. C’est là que tu t’ réfugies  Et ta mère qu’est une lionne M’accueillerait à coup de fusil  Si elle voit que j’espionne. Du coup j’me sens un peu con  Roméo de pacotille... Quand je vois à ton balcon  Une lumière qui scintille.  J’ t’imagine t’écout’s sûrement  Ma voix au téléphone Te dire que j’ m’en veux tellement.  Appell’ quand tu m’ pardonnes. Appell’ quand tu m’ pardonnes. Moi c’que j’ai sur le coeur  C’est pas l’ genre qu’on marmonne sur un répondeur.  Appell’ quand tu m’ pardonnes.  J’pourrais plus m’ débiner  Quand j’saurais que tu t’ cramponnes sur le combiné. .

Du même artiste :

empty heart empty heart Bm, F#7/Db, D, G, F#7, A, F#, Em, Bb, C
empty heart empty heart Em, Am, D, C
empty heart empty heart Dm, Bb, A, Gm, C
empty heart empty heart Dbm, A, G#, B, Cm
empty heart empty heart Em, D, Bm, C, G, B
empty heart empty heart C, G, Am, F, E7
empty heart empty heart C, E, F, Am, G, Fm, A, Dm
empty heart empty heart D, Bm, G, A, F#m
La chanson évoque un homme qui attend désespérément un appel d'une personne qu'il aime. Il décrit la beauté du matin, se promenant dans la ville tout en se remémorant des souvenirs de leur relation passée. Malgré les doutes et les conflits qui les séparent, il exprime son désir de se réconcilier et de retrouver la connexion qu'ils avaient autrefois. L'atmosphère est empreinte de nostalgie et d'espoir, où chaque moment passé seul devient une occasion de réflexion sur ses sentiments les plus profonds. Le contexte semble suggérer une rupture ou un malentendu entre les deux protagonistes. L’homme semble conscient des complications qu’il a créées, cherchant le pardon et l'occasion de redémarrer. Cela témoigne d'une vulnérabilité touchante, accentuée par son souhait que l'autre personne l'appelle pour prendre contact et clarifier les choses.