La petite chanson

Raphael

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Et j'étais pâle le coeur dehors Je faisais parti du décor Je crois que tu n'aimais que moi Comme personne ne m'a aimé Avant après avant après Après des jours et des années Et tout ce que j'ai pu faire fouarer Et je me fous bien, me fous bien de nous Et le ciel peut bien sombrer, Peut bien tanguer, peut bien tanguer Et je marche les pieds mouillés La tête nue à peine lavée Dans les rues où il fait froid Je t'ai aimé mais je savais pas, Je savais pas, Je savais pas Ce qui s'enfuie ne revient pas C'est la tristesse qui se ramène cette fois Attiré par toi et par le ciel Je t'ai aimé mais je savais pas, Je savais pas, Je savais pas

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La chanson évoque la mélancolie d'un amour passé et la prise de conscience des émotions qui l’accompagnent. Le narrateur se remémore une relation où il se sentait profondément aimé, et pourtant, il réalise qu'il n'en avait pas conscience à l'époque. Les souvenirs sont teintés de regrets, de moments de joie enfuis et d'une tristesse sourde, accentués par une atmosphère froide et humide qui symbolise son état d'esprit. Le contexte de cette réflexion semble suggérer un retour en arrière, où les sentiments d'amour et de pertes résonnent avec la solitude et la désillusion. Le narrateur marche dans les rues, perdu dans ses pensées, illustrant un contraste entre l'innocence des premiers émois et la compréhension douloureuse de la réalité. C'est un instant de vulnérabilité, où l'absence de l'autre se fait particulièrement sentir.