La lavande

Pomme

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Ta peau n'est pas étanche Elle coule de désir De trop longues absences Et d'envie, tu soupires Si je m'affaiblis, que je ne tiens plus debout, Allonge mon corps ici   Tout en haut du Ventoux! Et couvre-moi de lavande Et de sel si tu pleures Avant la neige de décembre, Avant que ne fanent les fleurs! Je veux mourir maint'nant Et renaître au printemps Je veux mourir maint'nant Et renaître au printemps Ta peau toujours si blanche au soleil va noircir des fruits sur cette branche au soleil vont mûrir Et je m'affaiblis que je n'tiens plus debout Allonge mon corps ici Tout en haut du Ventoux! Et couvre-moi de lavande Et de sel si tu pleures Avant la neige de décembre Avant que ne fanent les fleurs! Je veux mourir maint'nant Et renaître au printemps Je veux mourir maint'nant Et renaître au printemps Ma peau n'est pas si jeune Elle connaît les adieux Et sous un ciel d'automne Je ferme enfin les yeux Et je m'affaiblis Que je n'tiens plus debout Alors laisse-moi ici Tout en haut du Ventoux! Et couvre-moi de lavande Et de sel si tu pleures Avant la neige de décembre Avant que ne fanent les fleurs! Mais si je meurs maint'nant Je n'aurai jamais 20 ans Les fleurs ne meurent pas vraiment Elles renaissent au printemps.

Du même artiste :

empty heart empty heart Bb, F, Eb
empty heart empty heart D, A, G, A7, F#, D7
empty heart empty heart G#m, B, F#, Eb7, E, F7, G#7, Eb, F#7
empty heart empty heart Em, G, Am, C, B7, D, D/F#
empty heart empty heart Gm, Dm, Eb, Bb, F
empty heart empty heart Em, G, C, D
empty heart empty heart A, E, B
empty heart empty heart Em, Am, B7
empty heart empty heart F, Eb, Bb, F/A, Gm
empty heart empty heart C, G, E7, Am, F
Cette chanson évoque un profond désir et une mélancolie face aux absences et au passage du temps. L'artiste partage une vulnérabilité, exprimant le besoin de réconfort dans un lieu chargé d'émotion, tout en se sentant près de la nature, symbolisée par la lavande et la mer. L'imagerie des saisons souligne le cycle de la vie, le désir de mourir et de renaître, où même la douleur s'accompagne d'une promesse de renouveau au printemps. On ressent une connexion avec la beauté éphémère des fleurs et l’acceptation de la finitude, tout en gardant l'espoir d’un nouvel élan. C’est une réflexion sur la fragilité des moments, rappelant que même après la souffrance, il y a toujours une renaissance possible.