Sapolin 148

Plume Latraverse

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Intro :                                                     J'me souviens pu ben ben, sapolin...             J'me sens loin d'mes premiers partys sa rue Lemay             Que cé qui nous reste à faire Quand on sais meme pu à quoi sa sert              Que cé qui nous reste à faire        Que d'rêver...      Rêver.                   Un matin qui s'éteint, sapolin...         Sous le gris d'une pluie de mai, nuages usés             Qu'un vent sale  à le charvoyer Dans toutte les bars pis toutte les cotés           Un paquet d'larmes en fumées de rire...  Rire en spray.                         Instrumental :                                                      Y'a pu rien qui m'retient, sapolin...              Chu rouillé du premier degré jusqu'au dernier              Du premier jusqu'au dernier    On a toute notre peinture acro--chée, au musée d'la rue Lemay Dan un coin , dans un coin.. oh mon amour c'est Sapolin. Dans un coin... Sapolin...

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empty heart empty heart A7, Dm, G7, C, D7, C7, F, B7, E, D, A, G, C#7, F#, Em, E7
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empty heart empty heart Bm, Bm/Bb, Bm/A, E9, G, A, F#7, D, D7, Gm, C#7, B
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La chanson évoque des souvenirs flous d'une époque passée, marquée par des moments de joie et de fête dans un quartier bien connu. Elle parle d'un sentiment de désorientation et d'ennui face à un quotidien ennuyeux, où l'on ne sait plus vraiment quoi faire. Les paroles illustrent une mélancolie palpable, mêlant des images de la vie nocturne et une introspection sur les rêves et les espoirs. Le contexte semble ancré dans les réflexions d'un homme qui se remémore des temps plus heureux, tout en se sentant éloigné de cette joie simple. La ville, avec ses bars et ses nuages gris, devient le reflet de cet état d'âme, évoquant un mélange de rires passés et de larmes présentes. C’est une exploration intime de la nostalgie et de la recherche de sens au milieu d’une vie qui paraît parfois perdue.