Aimez-moi

Philippe Katerine

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Si je gueule quand tu dors pas J'suis pas un vrai papa Si tu dors pas C'est que tu as quelque chose qui va pas Tout pour ma gueule je pense à moi A ce quelque chose en moi Mais celui qui pense qu'à lui C'est pas un vrai papa A l'hôpital c'est pas normal J'avais plus peur que toi Avec cet animal pas normal J'avais plus peur que toi T'as des yeux à croire en Dieu Nan un papa c'est pas Dieu De toute façon Dieu C'est pas un vrai papa Ton papa il s'ra plus là   Tu diras "quel papa !" C'est classique Quelqu'un nous quitte et il devient un roi La mort rend les gens beaux   La mort rend les gens beaux Essaye de dire ça plus vite que moi "La mort rend les gens beaux" La mort rend les gens beaux (La mort rend les gens beaux)   La mort rend les gens beaux (La mort rend les gens beaux) Sois pas sot Rappelle toi Johnny quand il était là Je trouvais horrible le son de sa voix Et quand elle s'est tue sa voix Elle me manquait déjà Rappelle toi Johnny quand il était là Les journaux de gauche ne l'aimaient pas Maintenant qu'il n'est plus là Il fait la une de Télérama La mort rend les gens    beaux La mort rend les gens  beaux beaux beaux beaux Je ne compare pas mais S'il s'agit de moi-même Avant mon trépas Aimez-moi aimez-moi aimez-moi aimez-moi! Aimez-moi Tant que je suis là Aimez-moi Aimez-moi Aimez-moi aimez-moi aimez-moi aimez-moi Aimez-moi aimez-moi aimez-moi aimez-moi Aimez-moi aimez-moi aimez-moi aimez-moi tant que je suis là

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empty heart empty heart Dm, F, G, D5, Db5, C5, B5, G5, Bb, Am
empty heart empty heart D, C, Bm, G, A, Am, F#m, Gm
empty heart empty heart

Duo

Gmaj7, F#m7
empty heart empty heart F#, B, A, E, G#, G, C, Bb
empty heart empty heart C, D, Dm, F, E
empty heart empty heart A, F#m, Bb
empty heart empty heart Bm, F#7, Em, F#, Am6
empty heart empty heart Em, Bm, Ebm, Eb, D
empty heart empty heart C, A, Dm, G
La chanson aborde la relation complexe entre un père et son enfant, mettant en lumière les doutes et les peurs qui accompagnent la parentalité. Elle évoque la difficulté de concilier l'amour et les responsabilités, tout en soulignant que le véritable amour d'un père ne devrait pas être centré sur lui-même. Dans un style introspectif, l'artiste se questionne sur sa propre vie, son rôle et la perception qu’on a de lui, tout en réfléchissant à la mort et à la façon dont elle transforme les souvenirs des disparus en icônes. Le refrain appelle à être aimé tant que l’on est vivant, une manière poignante de sensibiliser à l'importance de l'affection et de la reconnaissance durant notre existence.