Troupeaux

Philippe Brach

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(x4) Ch'pas en criss mais j'veux qu'tu saches Que ces temps-ci j'trouve qu'on n'en arrache On rit pu de nos jokes d'la même manière J'ai l'impression que demain va ressembler à hier Même si j'pense encore à toi Si j'te cherche du haut des toits       Même quand y pleuvra encore Je sauterai les craques du trottoir pour éviter... Le silence des troupeaux Oh  oh...    oh oh oh Le silence des troupeaux Oh  oh...    oh oh oh Quand y fera pas beau ... Oh  oh...    oh oh oh Pour le silence des troupeaux (x2) C'pas l'même sourire que d'habitude À matin y'est empreint de lassitude On rit pu de nos jokes d'la même manière J'ai l'impression que demain va ressembler à hier Même si je pense encore a toi Si j'te retrouve dans d'autres draps       Et quand le soleil sera en retard Je sauterai les craques du trottoir pour éviter... Le silence des troupeaux Oh  oh...    oh oh oh Le silence des troupeaux Oh  oh...    oh oh oh Quand y fera pas beau ... Oh  oh...    oh oh oh pour le silence des troupeaux Oh  oh...    oh oh oh Oh  oh...    oh oh oh     

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La chanson évoque un sentiment de lassitude face à la monotonie quotidienne. L'auteur exprime une nostalgie pour des moments passés plus joyeux, tout en cherchant à se reconnecter à une personne importante malgré la routine qui semble inéluctable. Il décrit un contraste entre les jours où l'on rigole et le poids lourd du silence ambiant, symbolisé par les "troupeaux" qui représentent une masse uniforme de conformisme et d’ennui. Dans un contexte où l’on peut ressentir une certaine désillusion, les paroles résonnent avec le défi de garder espoir et d’éviter de se laisser submerger par cette tristesse collective. La lutte pour trouver la lumière, même sous un ciel nuageux, est présente dans le désir de sauter les imperfections de la vie, d’éviter ce silence oppressant.