Ornithologie I

Philippe B

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La ville est disparue Sous les retailles de l'été Les oiseaux perdus Traînent les rues Il ne reste plus rien   Dans le ciel en morceaux  On va se parler de la météo (x3) Sur les trottoirs mouillés Les animaux dépareillés S'en vont deux par deux Les yeux fermés Ã? la fête des morts La nuit déguise les corps  Vous ne saurez jamais qui je suis (x3) Un oiseau qui volait bien trop bas Est tombé endormi dans mes bras Mais à quoi rêvent les animaux? Un oiseau qui volait bien trop bas Est tombé endormi dans mes bras Mais à quoi rêvent les animaux?  (x3)

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empty heart empty heart Em, G, A7, Dm, Cmaj7, F, B, D
empty heart empty heart Am7, Am6, Dm9, G, Cmaj7, F, C, F#, B, D, E, Fmaj7, Fm6
empty heart empty heart E, C#m, A, B, Em, Am, C, G
empty heart empty heart A, A/G, D/F#, G, D, Bm, Bm/A, E, E/F#, E/G, E/G#, E7, Amaj7, F#m, F
empty heart empty heart G, Em7, Bm, C, Dm, D7, D, Dm7, E2, Am, D13
empty heart empty heart C, Cmaj7, E, Fm6, Am, G, B, F, E7
empty heart empty heart Am, /B, C, F, Em
empty heart empty heart B, Bb, A, C#m, F#m, E
empty heart empty heart D, Am13, Am7, A4, Fm7, C, E
La chanson évoque une ville dévastée, où l'été a laissé des traces et où les oiseaux errent dans des rues désertes. L'atmosphère est mélancolique, marquée par un ciel délabré. Les personnages semblent se perdre dans des conversations banales sur la météo, tandis que des créatures solitaires avancent sans but, les yeux fermés, comme pour fuir la réalité. Le texte suggère une réflexion sur l'identité et la solitude, avec l'image poignante d'un oiseau épuisé se reposant dans les bras de quelqu'un. Cela soulève des questions sur les pensées et les rêves de ces animaux, nous laissant dans une ambiance à la fois rêveuse et tragique.