Les pommiers envahis

Philémon Cimon

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Les pommiers envahis par la brousse sont à déterrer J'ai marché dans le champ de long En large pour me trouver Changer de nom changer de naissance de lieu de maison de saison Je cherche un pays à nommer Je veux me nommer Quand tu parles ça résonne en d'dans Grand-Louis abbé Moisan Goélette et bateau de tire Tirent sur moi jambant Champ de blé ou champ entréflé Fait couler mes yeux enneigés Je cherche un pays à nommer Je veux me nommer Saison chaude d'août ou septembre Feuilles en tombance Combien d'heures combien de cailloux Pour quitter ma fiance Ma mie moi mes rêves à l'envers La lune sur ta tête ta terre Je cherche un pays à nommer Je veux me nommer Ha    (x12) Marsouin blanc au sourire qui pleure Percé dans le ventre Lance et crocs dards dans le canot Faces d'épouvante Tue ton frère pour ton grand plaisir Mange son sourire et vivre Ha  (x3) Passion d'homme de femme et d'enfant Grande énervation Chapeau d'toile voile et sacrement Mordre son enfant Trouver l'heure uni à son règne L'ambition de voir quequ'chose de beau Ha  (x3) Je cherche un pays à nommer Je veux me nommer

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empty heart empty heart Dm, F, Gm, Am, C, Bbm, Em
empty heart empty heart B, G#m, E, F#, C#m
Dans cette chanson, l’artiste évoque une quête profonde d’identité et d’appartenance, illustrée par l’image des pommiers envahis. Au gré de ses réflexions, il explore des thèmes tels que le changement, le désir de renouveau et la nostalgie d’un pays à nommer. Il exprime une mélancolie face à la séparation, aux souvenirs d’un amour perdu, et une recherche d’un sens dans sa vie. Le contexte semble être celui d’un voyage intérieur, où les paysages naturels reflètent ses émotions. Entre la nature et les relations humaines, il interroge son existence et aspire à se redéfinir, comme s'il attendait un nouvel élan dans sa vie. Cette quête de soi se déroule dans une atmosphère de souvenirs doux-amers, où la beauté du monde et la dure réalité se côtoient.