Carrousel

Peter Peter

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Intro :         Montre-moi sur quel versant Se couchent et se lèvent ta lune et ton soleil ! Je veux voir quelle direction tu prends   Lorsqu'arrive la rue Saint-Laurent   Où s'échouent la plupart de tes rêves, Où galopent tes meutes de chimères J'apprendrai ta chanson préférée   Pour savoir comment te consoler Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel Qui ne s'arrête jamais Ne t'arrête jamais ! Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel. Être malade me plaît. J'immolerai mon coeur aux quatre feux Le hisserai au sommet du Mont-Royal Pour que tu n'aies plus jamais d'ennuis Pour que tu te guides la nuit Je dessinerai un visage aux étoiles Pour que tu ne te sentes jamais seule Des milliards de nourrices bienveillantes Chasseront tout ce qui te tourmente Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel Qui ne s'arrête jamais Ne t'arrête jamais ! Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel. Être malade me plaît. Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel Qui ne s'arrête jamais Ne t'arrête jamais ! Tu tournes dans ma tête Comme un carrousel. Être malade me plaît.   (x7)

La chanson évoque une quête de direction dans un monde où se mêlent rêves et chimères, à travers des images poétiques qui expriment à la fois la vulnérabilité et l’amour. L’artiste souhaite comprendre l’autre, en s'engageant à apaiser ses peines, symbolisant ainsi une profonde connexion émotionnelle. Le refrain évoque une pensée obsessionnelle, comme un carrousel qui tourne sans fin, représentant un état d'esprit à la fois troublé et fascinant. Le texte se déroule dans un environnement urbain, plus précisément à Montréal, qui occupe une place importante dans les réflexions de l'artiste. Les références à des lieux emblématiques comme le Mont-Royal ajoutent une dimension locale et personnelle, tout en soulignant le désir de protéger et de guider ceux que l'on aime, même au milieu des tumultes de la vie.