La chanson de l'orphelin

Paul Brunelle

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

Ma mère elle est au paradis Mon père il est mort lui aussi Je n'ai que dix ans et demi Et je dois mendier pour ma vie Je marche le long d'un chemin de fer J'ai faim et je tremble de froid Et je suis tout seul sur la terre Mon Dieu ayez pitié de moi Chaque jour je demande à Dieu De vouloir venir me chercher Ce soir sur mon lit de branches Mes prières seront exaucées Je marche le long d'un chemin de fer J'ai faim et je tremble de froid Et je suis tout seul sur la terre Mon Dieu ayez pitié de moi Demain on trouvera mon corps Tout maigre et aussi très gelé Mais de toutes mes misères Je serai enfin délivré Je marche le long d'un chemin de fer J'ai faim et je tremble de froid Et je suis tout seul sur la terre Mon Dieu ayez pitié de moi Mon Dieu ayez pitié de moi

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Cette chanson évoque la triste réalité d'un jeune orphelin qui traverse une période de souffrance. À seulement dix ans, il se voit contraint de mendier pour survivre, seul et dépassé par la peur du froid et de la faim. Ses pensées sont dévouées à sa mère et à son père, disparus, et il crie son désespoir à Dieu, espérant une délivrance de ses souffrances. Le contexte renvoie à une profonde solitude et à l'absence de soutien, illustrant la fragilité de la vie d'un enfant abandonné. Dans ce cheminement, il implore une aide divine, exprimant un besoin désespéré de réconfort dans un monde qui semble l'avoir abandonné.