L M le Q
Patrick Sébastien
Intro : (x2) Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré du village Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré mais il est trop sage En attendant elle se fait sauter..les pommes de terre les pommes de terre En attendant elle se fait sauter..les lardons si ya qu’ça pour la distraire En attendant elle se fait tirer..les cartes par une amie très chère En attendant elle se fait bourrer..de tranquillisants pour calmer ses nerfs Aie aie aie aie aie que c’est triste ce qu’elle voudrait surtout Aie aie aie aie aie que c’est triste c’est qu’ils la prennent par le cou Par le cou Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré du village Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré mais il est trop sage En attendant elle s’fait ramoner..la cheminée parce qu’elle est pleine de suif En attendant elle s’fait enfiler..des pulls pas chers qu’elle achète à Monoprix En attendant elle se fait monter..par la concierge des commissions En attendant elle s’est fait baiser..comme tout l’monde aux dernières élections Aie aie aie aie aie que c’est triste ce qu’elle voudrait surtout Aie aie aie aie aie que c’est triste c’est qu’ils la prennent par le cou Par le cou « Et envoyez les majorettes ! » Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré du village Elle aime le Q elle aime le Q elle aime le cu..ré mais il est trop sage En attendant elle se fait limer.. les dents du d’vant pour avoir un sourire plus doux En attendant elle s’fait pénétrer.. par la parole de Dieu quand elle est à genoux En attendant tous les matins elle suce.. de la réglisse pour avoir bonn’haleine Et tous les soirs elle se met un doigt.. en plus un doigt d’Porto pour y noyer sa peine Aie aie aie aie aie que c’est triste ce qu’elle voudrait surtout Aie aie aie aie aie que c’est triste c’est qu’ils la prennent par le cou Aie aie aie aie aie que c’est triste ce qu’elle voudrait surtout Aie aie aie aie aie que c’est triste c’est qu’ils la prennent par le cou Par le cou « Et on renvoie les majorettes ! Et on fait tourner l’bâton ! »