Le feu de chaque jour

Patrice Michaud

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Intro : (4x) Pendant que l'hiver ouvre nos lèvres Tu tiens mes yeux comme un feu de grève Je rêve des soirs où tu t'arranges Je pense aux endroits où tu te changes Quand tu t'en vas briser des records Ici l'avenir est un carnivore Tu rends mes matins unanimes Quand tu reviens comme dans les films Et tu repars Moi, j'attends, j'attends que le printemps Nous déshabille Que fondent nos empreintes J'attends, j'attends que le printemps Nous déshabille Pour boire ton absinthe Pendant que l'hiver ouvre nos lèvres L'argent que j'ai pas brûle de fièvre Les arbres se couchent sous tes pieds La ville retient son respire Je n'ai plus de coeur, tout est fermé Je n'ai plus de coeur, tout est fermé Je n'ai plus de coeur... Moi, j'attends, j'attends que le printemps Nous déshabille Que fondent nos empreintes J'attends, j'attends que le printemps Nous déshabille Pour boire ton absinthe Chercher le feu de chaque jour Prendre les sorties de secours Chercher le feu de chaque jour J'irai consumer ton retour Chercher le feu de chaque jour Moi, J'attends, j'attends que le printemps Nous déshabille Pour boire ton absinthe

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La chanson évoque un désir intense et une attente de chaleur et de renouveau, symbolisés par le printemps. Le protagoniste ressent un vide et une monotonie durant l'hiver, où tout semble figé. Les souvenirs des moments passés avec l'autre personne sont vivants, mais l'absence crée une impatience palpable, sur fond de métaphores de feu et d'absinthe, qui évoquent passion et évasion. Le texte dépeint un contraste fort entre la froideur de la saison et l'ardeur des émotions. La ville se fige, et la vie semble suspendue jusqu'à ce que le printemps arrive pour libérer ce qui est latent. On perçoit une quête de lumière et de joie, une recherche de ce qui fait vibrer au quotidien, à travers un langage poétique et des images évocatrices.